La perquisition scandaleuse des locaux de Terre du Ciel

Une vingtaine de fonctionnaires et des gendarmes en treillis de combat, armés de mitraillettes !

 La perquisition scandaleuse des locaux de Terre du Ciel

En janvier nous avons relaté sur ce site  l’’incroyable perquisition dont fit l’’objet l’’association Terre du Ciel.

Le 7 janvier 2010 les permanents de cette association, qui organise des stages et des séminaires  ayant trait à différentes traditions spirituelles, ont vu débarquer dans leurs locaux une vingtaine de fonctionnaires et des gendarmes en treillis de combat, armés de mitraillettes !

Sur le site de l’’association, le fondateur, Alain Chevillat, donne des nouvelles de cette perquisition. Voici des extraits de ses réponses, particulièrement éclairantes sur le climat détestable qui prévaut en France contre tout organisme tentant de faire passer au premier plan la spiritualité.

1    Où en êtes-vous de vos ennuis ? Ont-ils des conséquences sur vos activités et sur l’’avenir de Terre du Ciel ?

[…]« La ‘garde’ de tous nos ordinateurs pendant un mois ne nous a pas permis de faire notre brochure d’’été habituelle. Nous avons fait une brochure réduite qui renvoyait sur internet. Cela a conduit à un résultat en baisse de quelques 30%. Comme nous avions fait un bon hiver, je pense que l’’un compensera l’’autre, et que le bilan sera équilibré. Du moins, je l’’espère.

Cet été, les banques se sont liguées contre nous – alors que nous n’avons jamais eu le moindre incident bancaire. Une première nous a refusé l’’ouverture d’’un compte ; une seconde [..] nous a fermé d’’autorité notre compte Nef. Puis une troisième, une banque de Louhans, nous a demandé de fermer notre compte, avant de changer d’’avis après discussion avec le responsable régional. Tracfin, un organisme d’’Etat chargé de la lutte contre le blanchiment d’’argent, serait derrière ces décisions. Mais on ne voit pas de quel blanchiment il s’’agirait, la Brigade financière et le Fisc ayant déjà épluché tous nos comptes sans rien trouver, et on peut se demander : ‘Qui est derrière Tracfin ?’

Rappelons que le Centre Amma a vu, il y a plusieurs années, une ouverture de compte refusée par toutes les banques, et que les Témoins de Jéhovah, victimes de la même discrimination, portent aujourd’’hui cette question devant les tribunaux. N’’y aurait-il pas des listes noires qui circulent ? N’’auraient-elles pas un lien avec le référentiel de la Miviludes qui pointe du doigt 600 structures ‘à tendance sectaire’ à l’’intention des ‘autorités’ ?

L’’existence de listes noires secrètes rappelle un passé pas si lointain… et pas très glorieux, et invite à nous demander si nous sommes toujours dans un pays de droit.[…]

Cette crise nous a remotivé, a réveillé notre énergie combative, avec le sentiment que nous ne combattons  pas seulement pour nous, mais pour toute la mouvance alternative, pour l’’avenir de la société. En fait on se bat pour la Vie, contre l’’intégrisme de la Miviludes, et contre une bureaucratie qui peut être très castratrice.[…]

2.    Comment comprenez-vous que Terre du Ciel, pluridisciplinaire, interculturel et inter-religieux, qui assume un véritable travail culturel de service public, puisse être dans le collimateur des pouvoirs publics ?

Le spirituel n’a pas droit d’’expression en France dans la sphère publique. Or depuis vingt ans nous ne respectons pas cette omerta tacite, cette loi du silence. Tous nos forums, notamment, mettent en avant la spiritualité en explicitant qu’’elle est une dimension fondamentale de la vie. Nous renouvelons aujourd’’hui plus que jamais cette affirmation, notamment dans ces Forums de trois jours qui accueillent à chaque fois un millier de personnes et une quarantaine d’’intervenants venant de tous horizons professionnels, sociaux et religieux.[…]

Par ailleurs, depuis quelques années, la Miviludes, en chasse des minorités spirituelles, a élargi sa cible aux médecines naturelles, aux écoles parallèles, au développement personnel. C’’est une véritable inquisition contre le ‘non conforme’, une mission de normalisation de la pensée et des comportements. C’’est tout l’’art de vivre alternatif qui est officiellement visé comme dangereux pour la religion officielle de la République française qui est le ‘Consumérisme’. Et Terre du Ciel est clairement au cœoeur de cette démarche pour l’’élaboration d’un nouvel art de vivre.

Au lieu de prendre acte du côté obsolète de beaucoup d’’aspects de la société française actuelle, et de soutenir les structures alternatives comme laboratoires de recherche et d’’expérimentation pour une société post-industrielle dans laquelle nous entrons, les pouvoirs publics ont choisi de durcir leur position et de s’’engager  dans la voie de la répression. Et leurs outils pour cela sont la Miviludes et les administrations.

Les pouvoirs publics disent aujourd’’hui à qui veut les entendre que la perquisition du 7 janvier n’’a été due qu’’à des fautes administratives. Mais un policier très haut placé à Paris nous a dit, après enquête, il y a peu : ‘la première piste est aujourd’’hui complètement abandonnée. Ils sont sur une piste financière banale. Ils en veulent à la Miviludes qui les a égarés. Ils cherchent à botter en touche.’ C’’est très clair et cela résume toutes les informations que nous avons réunies par ailleurs.[…]

Il est bien connu que les réglementations administratives françaises sont particulièrement compliquées, et un petit patron de PME n’’est pas forcément au courant de toutes leurs subtilités, qui d’’ailleurs changent tout le temps. Il est donc très vulnérable. Selon qu’’il se situe d’’un côté ou de l’’autre de la barrière, selon qu’’il est plutôt proche du ‘premier cercle’ du Président, ou des cibles de la Miviludes, l’’administration agira d’’une façon ou d’’une autre. Elle enverra une lettre d’’invitation à corriger les erreurs, ou une escouade de gendarmes qui saisiront l’’argent et les ordinateurs, tuant, de fait, une entreprise avant qu’’elle soit jugée. Rappelons que nous n’’avons récupéré nos ordinateurs qu’’après 4 semaines et sur la pression de nos amis qui se sont démenés pour obtenir notre survie (1500 lettres ! Merci). Nous n’’avons toujours pas récupéré l’’argent.

Quoi que disent aujourd’’hui l’’administration, les gendarmes, l’’inspection du travail ou le procureur, c’’est un fait incontestable que la méthode employée nous aurait tué sans jugement s’’il n’’y avait pas eu la réaction forte de nos amis. Doit-on répéter en chœoeur la phrase bien connue : ‘J’ai confiance dans la justice de mon pays’ ?».[…]

L’’Observatoire des subventions épingle la Miviludes

La Miviludes mène grand train

observatoire des subventions

Sous le titre « la Miviludes mène grand train », l’’Observatoire des subventions,  créé par la puissante association « Contribuables associés », vient de publier sur son site internet (observatoiredessubventions.com) la lettre d’’une lectrice très critique contre le train de vie de la Miviludes.

Le CFSD a, à plusieurs reprises, dénoncé les propos de M. Fenech, ses accointances, et le financement public d’’associations militantes qui luttent contre les nouvelles religions. Aussi, nous nous associons pleinement aux propos de cette lectrice. Voici des extraits de sa lettre :

« Soit les dérives sectaires sont des actes qui violent la loi et dans ce cas, c’est à la police et la justice d’agir ; soit elles ne violent pas la loi mais ressortent d’une appréciation subjective auquel cas la France, démocratie adulte, n’a que faire d’un organisme qui prétend faire le tri entre les bonnes et mauvaises croyances.

George Fenech, actuel président de la Miviludes, présidant la commission d’enquête parlementaire sur les enfants et les sectes en 2006, clamait dans les médias que ’60 000 enfants étaient en danger’.

 Auditionné devant la commission d’enquête, le directeur central des Renseignements Généraux, M. Joêl Bouchité, estimait, lui, le nombre ‘tout au plus à quelques dizaines.’ Exagération énorme ! Mais elle permet à la Miviludes de justifier son existence et ses dépenses.

Le dernier rapport de la cour des Comptes a épinglé la voiture de fonction avec chauffeur mise à la disposition de G. Fenech, par le ministère de l’Intérieur (plus de 80 000 euros par an). Et on a pu suivre les voyages de M. Fenech et de sa conseillère technique en Guadeloupe, en Polynésie, en Nouvelle-Calédonie, sous couvert de traquer le sectarisme aux quatre coins du monde. […]»

 

Quand les religions se parlent

Des représentants de religions très diverses

Quand les religions se parlentSous l’’égide du CLIMS, le Centre de Liaison et d’’Information concernant les Mouvements Spirituels, s’’est tenu à Genève, le 13 juin dernier, un intéressant colloque intitulé « L’’Universalisme dans le Judaïsme ».

Intéressant non seulement pour le sujet traité mais aussi parce qu’’intervenaient à la tribune des représentants de religions très diverses : Judaïsme,  Sukyo Mahikari, Église des Saints des Derniers Jours, Fraternité Blanche Universelle et Église de Scientologie.

Ainsi, à travers les interventions de chacun, l’’assistance apprenait à connaître le message de paix et de fraternité entre les hommes que chacune des religions représentées souhaitait délivrer.

Voici quelques extraits de différents discours prononcés.

Grand Rabbin Itzak Dayan :

« En ce début de siècle, plus que jamais, après les barbaries telles que la Shoah et les atrocités nées des guerres modernes, il est indéniable que l’’humanité aspire à la stabilité et à la cohésion entre les peuples. Elle aspire à une ère nouvelle où règnent la paix, la justice et le respect des droits de l’’homme.[…]
Affirmer la supériorité d’’une espèce par rapport à l’’autre,  établir une hiérarchie entre les êtres humains, créer une discrimination fondée sur l’’ethnie ou sur l’’origine, c’’est s’’élever contre la Bible, qui donne à l’’humanité un père commun. […]
L’’étranger, cet être qui inquiète trop souvent aujourd’’hui, et dont on veut faire un paria dans nos sociétés industrielles, cet étranger, nous nous devons de veiller sur lui. Plutôt que de l’’absorber, nous devons l’’encourager à se vouloir fidèle à lui-même. Son identité nous est précieuse et il nous incombe de l’’enrichir. Le Judaïsme nous enseigne de mettre l’’accent sur cette solidarité et le respect de l’identité de tout un chacun.[…]
Il n’’y a pas là un esprit de tolérance, car la tolérance suppose l’’acceptation de l’’autre avec des réticences. Autrui n’’est pas là pour être toléré, mais pour être accepté tel qu’’il est. Autrui n’’est pas là pour être toléré, mais pour être aimé pour ce qu’’il est. Autrui n’’est pas là pour être toléré, mais pour avoir les mêmes droits que moi et sans aucune distinction de race, ni de religion.[…]
Ainsi, la tradition juive ne reconnaît aucune guerre comme sainte. La guerre ne peut et ne doit jamais servir de moyen d’’atteinte à la noblesse ou à la sainteté. Tuer, même si c’’est pour défendre une cause supérieure, diminue l’’homme.[…]
Dans nos relations avec autrui, nous devons nous aussi, privilégier la conciliation plutôt que l’’affrontement, et contribuer par un leitmotiv constant à la fraternité. »

Monsieur Philippe Ramoni, membre de l’’Enseignement de la Fraternité Blanche Universelle :

« Mais aujourd’’hui, plus que jamais, il ne s’’agit plus tellement de nous tourner vers le passé en étudiant des connaissances extraordinaires, mais de les utiliser pour participer à un travail essentiel : donner conscience à l’’Homme de sa juste place, afin qu’’il comprenne les rapports à créer avec le Monde divin autant qu’’avec son environnement terrestre et avec les autres êtres vivants sur la terre et au-delà. Et c’’est là que l’’on peut reprendre le mot d’’universalisme – c’’est-à-dire une opinion qui ne reconnaît que le consentement universel – puisqu’’il en va de la responsabilité universelle d’’appliquer dans notre vie cette connaissance, qui n’’a pas d’’âge, et qui aujourd’’hui encore apporte des réponses aux questions essentielles des humains souvent désemparés et sans repères.
En ce début du XXIème siècle, il a fallu quelques accidents écologiques spectaculaires ou des événements climatiques inhabituels pour attirer l’’attention des humains qui commencent à réfléchir et à envisager des solutions… On y consacre des efforts colossaux, mais cette réflexion se limite encore au plan physique, pour les déchets que nous produisons et rejetons, pour nos besoins en énergie et en produits de consommation.

On ne voit pas encore le lien entre les différents plans, on peine à comprendre que nous vivons dans un monde où tout est lié, où chaque élément dans notre vie même, comme nos pensées et nos sentiments autant que nos actes, engendrent des conséquences, en bien ou en mal, en bénédictions ou en malédictions, à très long terme.
Et c’est là que nous rejoignons encore une fois la science contenue dans les livres sacrés de l’’Humanité, dont le judaïsme a été l’’un des porte-flambeaux.

Ces textes – à commencer par le Décalogue, par exemple – attirent notre attention sur les conséquences négatives des plus petites choses : pensées avides, mauvaises intentions, paroles perfides ou sentiments frelatés que l’’homme d’’aujourd’’hui ne prend plus au sérieux, mais répand sans cesse et en abondance autour de lui, comme si cela n’’avait aucune importance.

On sait pourtant que tous ces éléments influencent de manière importante les relations entre les humains, empêchant les échanges harmonieux, engendrant conflits et incompréhensions et, ainsi, éloignant l’’Homme de sa mission céleste. »

Madame Suzanne Montangero, membre de l’’Eglise de Scientologie :

« Pour évoquer le caractère universel dans la religion, nous avons connaissance, dans nos écritures, d’’un principe qui intègre le lien avec la loi de Dieu transmise aux hommes. Ce principe répond à la question : Qu’’est ce que la grandeur ?
Extrait d’un texte de L. Ron Hubbard : ‘Le plus grand défi est de continuer d’’aimer ses semblables en dépit de toutes les raisons qu’’on aurait de ne pas le faire. Et le véritable signe de santé d’’esprit et de grandeur est de le faire. A celui qui peut y parvenir, tous les espoirs sont permis.’ »

La campagne des scientologues pour les droits de l’homme

Faire connaître à tous la déclaration universelle des droits de l’homme

Les scientologues mènent actuellement une des plus grandes campagnes jamais organisées par un organisme privé pour faire connaître à tous la déclaration universelle des droits de l’homme. Au sortir de la deuxième guerre mondiale, ce texte a représenté un formidable espoir pour les peuples du monde entier.

Il est malheureusement encore trop peu appliqué et il est insuffisamment connu. Pourquoi n’est-il pas enseigné dans toutes les écoles ?

Connaître, faire respecter les droits de l’homme est la clef d’un monde plus harmonieux.

Dans cette vidéo, plusieurs personnalités témoignent sur la campagne menée par les scientologues.

Ce qui nous unit

Qu’ont en commun les bénévoles qui travaillent pour informer les jeunes sur le danger des drogues, pour faire connaitre la déclaration universelle des droits de l’homme, pour réhabiliter les délinquants, pour lutter contre l’illettrisme, pour alerter la population sur les abus de la psychiatrie… L’AIDE !

Toutes ces personnes veulent aider leur prochain. N’écoutant pas une minorité de cyniques qui préfèrent ricaner en spectateurs, ils ne comptent pas leur temps pour aider les autres. Et surtout, ils croient que c’est possible, qu’on peut aider son prochain et améliorer la société. Ils croient en l’efficacité de leurs outils.

Cette vidéo vous présentera très succinctement leurs résultats.


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Nos valeurs

Cette nouvelle annonce, largement diffusée sur internet et sur de nombreuses chaînes de télévision,
résume parfaitement les valeurs essentielles qui rassemblent les scientologues.

Nous vous laissons en prendre connaissance.


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