L’Unadfi dans le vent du boulet !!!

L’’UNADFI n’’est pas dissoute mais le combat pour la liberté de croyance continue

Nous publions ci après le communiqué de presse de l’association CAP :

Cour d’’Appel de Paris

L’’UNADFI dans le vent du boulet !

L’’UNADFI n’’est pas dissoute mais le combat pour la liberté de croyance continue. Par un arrêt rendu ce jour par la Cour d’’Appel de Paris, celle-ci considère, qu’’en dépit des éléments présentés, les plaignants n’’ont pas apporté suffisamment de preuves relatives à leurs situations discriminatoires pour obtenir la dissolution de l’’UNADFI et de l’’ADFI Nord, ainsi que des dommages et intérêts.

Cette affaire oppose dix particuliers et deux associations, dont CAP pour la Liberté de Conscience, à deux autres associations : l’’UNADFI et l’’ADFI Nord. L’’arrêt de la Cour d’’Appel rendu aujourd’’hui vide de son sens la décision du TGI de Paris, rendue le 13 décembre 2005. En effet, la Cour d’’appel invalide les condamnations contre les demandeurs pour procédure abusive, ainsi que les frais importants de publication de la décision.

« Cet arrêt de la Cour d’’Appel marque pour nous un progrès dans le sens de la justice pour les minorités de conviction. Notre cri pour la liberté de conscience a été entendu, d’’autres victimes de l’’UNADFI et des ADFI n’’auront plus peur maintenant de s’’attaquer à la sacro-sainte UNADFI, qui ne vit que grâce aux subventions de l’’Etat. Nous savons que les actions de l’’UNADFI et de l’’ADFI Nord violent les droits qui sont garantis par la Convention Européenne. Cette décision ne nous suffit pas, nous irons en Cassation puis à la Cour Européenne de Strasbourg si cela est nécessaire car l’’Europe est plus sensible que la France à la liberté de croyance» a déclaré le président de CAP pour la Liberté de Conscience.

De plus en plus de personnes critiquent et dénoncent l’’UNADFI et les ADFI. Elles se plaignent d’’être victime d’’une « chasse aux sorcières ». Elles invoquent des atteintes à leur vie privée et à leur vie sociale.

Pour la première fois, des particuliers ont mis en avant les dommages qu’’ils avaient subis en raison de leurs convictions. Si cette fois, pour la Cour, les preuves ont manqué, nul doute que d’’autres seront vigilants pour accumuler des preuves irréfutables. CAP pour la Liberté de Conscience sera à leur côté !

Pour toute information :
Thierry Bécourt : 06.84.52.76.29

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